le bonheur est-il préférable à la liberté ?

Dans le film de Peter Weir, The Truman Show, Truman Burbank est un homme dont la vie se déroule dans un décor télévisé. Ignorant la supercherie, Truman vit une existence paisible, rythmée par des routines réconfortantes. Son bonheur semble total. On le voit pourtant douter progressivement de la réalité de ce bonheur et se mettre à désirer plus de liberté. Cet exemple illustre la question qui nous est posée : « le bonheur est-il préférable à la liberté? ». Car un bonheur factice, entouré d’illusions et sous le contrôle d’un autre, vaut sans doute moins que la liberté, même si celle-ci s’accompagne d’incertitudes et de difficultés.

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Jusqu’où l’argent fait-il le bonheur?

Le paradoxe d’Easterlin

Il y a plus d’une quarantaine d’années, l’économiste américain Richard Easterlin avait élaboré une théorie stipulant que passé un certain seuil, le Produit intérieur brut (PIB) d’un pays n’était plus un révélateur de l’accroissement du bonheur de la population.

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